Une bonne maîtrise du langage usuellement employé dans le secteur de l’informatique peut se révéler complexe de trois points de vue : premièrement, parce qu’il s’agit d’un lexique en constante évolution, soumis aux perpétuelles innovations du secteur. Deuxièmement, parce qu’il est essentiellement composé de vocabulaire anglais, une langue qui, malgré son caractère universel, n’est pas forcément familière à tout le monde ! Troisièmement, parce qu’il fait souvent référence à des fonctionnalités mystérieuses aux yeux d’un novice.
Un jargon obscur
En effet, le langage informatique paraît, au premier abord, d’un accès si hermétique qu’on le désigne souvent sous le terme de jargon, c’est-à-dire une langue que seuls les initiés pourraient comprendre. Entre les nombreuses abréviations, les sigles empruntant leurs lettres à des mots anglais, les néologismes et les mauvaises traductions en français, n’importe qui aurait tendance à y perdre son latin…
Apprendre en pratiquant
Le meilleur moyen de percer les secrets du langage informatique consiste certainement dans une pratique régulière de ses instruments. Ainsi, si vous avez du mal à comprendre ce qu’est le cloud storage ou même à faire la différence entre un malware et un spyware, efforcez-vous de mieux pénétrer le fonctionnement de votre PC, par exemple en posant des questions précises au technicien qui en assure la maintenance. Vous pouvez également vous lancer dans la création d’un site internet, qui vous obligera à vous informer précisément sur les différents serveurs (pour plus d’infos sur un Windows server, allez sur express.ikoula.com) ou sur la fonction spécifique d’un domain name…